Un mois, ça semble déjà loin, mais un mercredi matin après avoir acheté le canard, il m’était venu sous la plume ce petit conte patissier :
Ca va se savoir
A l’heure des croissants, je suis allé acheter le canard, histoire d’avoir des nouvelles du sacristain et là, je fus chouquette.
Tout cela n’est panett on en reste baba.
Du pain perdu ?
Pas pour tout le monde pensait le sacristain, un rien florentin.
Plus besoin de spéculoos, il y aura toujours assez de galette pour profiter,ole !
La vie en chausson sans se geler les miches, les biscuits roses c’est pour nous gars! Pas pour les mendiants!
Apres avoir feuilleté le canard, il est clair, ( c’est pas du flan, ni du chinois) que le sacristain, jésuite à ses heures, en connaissait un rayon dans le domaine financier et que tous les saints honorés lui ciraient les pompes à l’huile.
Dans cet opéra comique, le Canelé bordelais soutenait du bout des lèvres… c’est cuit, pensait-il.
Même les religieuses pleuraient comme des madeleines.
La messe était dite… jusqu’ à mercredi prochain.
Saurez vous trouver le nombre de choux qui constituent cette pièce montée ? (indice, Ca va se savoir est un beignet camerounais )